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A
film composed by Ennio Morricone - 006
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Sans
mobile apparant (Philippe Labro)
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Chronology
No.
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The
music page in the site
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IMDB
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Chinese
IMDB
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Note
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It
is shown that the film was composed by Ennio Morricone
(00:03:08)
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001-Basic
info
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Director:
Philippe Labro
Writers: Evan Hunter (novel), Vincenzo
Labella, and 2 more credits ?
Stars:Jean-Louis Trintignant, Dominique
Sanda and Sacha Distel |
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Cast
(in credits order)
Jean-Louis
Trintignant.... Stéphane Carella.
Dominique Sanda/Dominique Sanda.... Sandra Forest.
Sacha Distel/Sacha Distel.... Julien Sabirnou.
Carla Gravina/Carla Gravina.... Jocelyne Rocca.
Paul Crauchet/Paul Crauchet.... Francis Palombo.
Laura Antonelli/Laura Antonelli.... Juliette Vaudreuil.
Jean-Pierre Marielle/Jean-Pierre Marielle.... Perry Rupert-Foote
Stéphane
Audran.... Hélène Vallée.
Gilles Ségal/Gilles Ségal.... Di Bozzo.
Pierre Dominique/Pierre Dominique.... Doume.
Erich Segal/Erich Segal.... Hans Kleinberg.
Jean-Jacques Delbo/Jean-Jacques Delbo.... Le supérieur/Commissioner.
André Falcon/André Falcon.... Le sous-préfet/Mayor.
Alexis Sellan/Alexis Sellan.... Pierre Barroyer.
Esmeralda Ruspoli/Esmeralda Ruspoli.... Madame Forest.
Michel Bardinet/Michel Bardinet.... Tony Forest.
Philippe Labro/Philippe Labro.... Un journaliste (uncredited).
Jean-Claude Rémoleux/Jean-Claude Rémoleux.... Un candidat jeu TV
(uncredited).(Here)
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Genres:
Mystery | Thriller |
Produced
by
Cinétel
Euro International Film (EIA)
Président Films
|
Contry
France Italy |
Language:
French |
Original
Music by Ennio
Morricone |
Cinematography
by Jean
Penzer |
Filming Locations:Nice, Alpes-Maritimes, France |
Runtime:100
min
Sound Mix:Mono
Color:Color |
Release
Date:
1971-09-15
|
Second
Unit Director or Assistant Director Patrick
Millet
|
Also
Known As (AKA)
Senza movente
Sem Motivo Aparente Brazil / Portugal (imdb display title)
Bez motivu Czechoslovakia
Bez wygranych motywów Poland
Dolofonos horis aitia Greece (transliterated ISO-LATIN-1 title)
Ipucu yok Turkey (Turkish title)
Kymmenen plus yksi Finland
Látszólag ok nélkül Hungary (imdb display title)
Mord uden motiv Denmark (imdb display title)
Neun im Fadenkreuz West Germany
Ohne besonderes Tatmotiv East Germany
Okand hamnare Sweden
Senza movente Italy
Sin móvil aparente Spain
Skoteina eglimata Greece (video title)
Without Apparent Motive (undefined)
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Storyline:
A serie of murders is comitted in Nice on the
French riviera. The commissaire Carella is in charge and tries to
find a missing link between all these murders. Written by Jean-Yves
Simon (IMDB)
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002-More
introduce and comment
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002-1
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This
hard-boiled French crime thriller begins with the bold murder
of a well-heeled Frenchman. The detective assigned to the
case is most puzzled for there seems to be no motive. Then
a old man and an astrologer are killed in exactly the same
way, leaving the detective to figure out how the three disparate
victims are linked. All he has to go on is a mysterious diary
given to him by the step daughter of the first victim. The
diary belonged to him and contains a list of the man's lovers.
One of those women was once the lover of the detective and
he calls upon her. She, not knowing that he is on a case,
hopes that he will renew their love. During their tryst, he
learns that she knows all three of the victims, but before
he can call her on it, she too is gunned down. Eventually
it is the lover of the step-daughter who leads the detective
to the mystery's surprising, shocking conclusion. Despite
the film's noir-ish content, director Philippe Labro chose
to film it in gay, sunny Nice, a technique that actually enhances
the grimness of the suspenseful story. ~ Sandra
Brennan, Rovi
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002-2
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Three
men are killed in Nice. The only apparent connection between
the three men is the manner of their death – they were each
shot from a distance by a rifle equipped with a silencer. Whilst
investigating the murders, Inspector Carella comes across a
notebook belonging to one of the dead men. In it, he finds the
telephone number of his former girlfriend, Jocelyne Rocca. Convinced
that she may be able to help him, Carella invites Jocelyne to
his apartment. The meeting is not as fruitful as Carella had
hoped and shortly after leaving him Jocelyne is also shot dead.
Carella makes a breakthrough when he learns that all four of
the victims appeared in a play together eight years ago. And
the man who wrote and directed that play is in the process of
rehearsing a revival... (Here) |
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002-3
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(French)
Resume du film A Nice, trois crimes sont commis, sans mobile
apparent par un homme muni d'un fusil a lunette. En epluchant
le journal intime d'une des victimes, un riche industriel, le
commissaire Carella, charge de l'enquete, remarque le nom d'une
jeune femme, Jocelyne Rocca. Il l'invite chez lui, et apprend
alors qu'elle a ete en contact avec les trois personnes qui
ont ete assassinees. Des lors, Carella redoute que Jocelyne
ne soit une quatrieme victime...(DVD
cover) |
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A Nice,
Tony Forest et Pierre Barroyer sont tour à tour assassinés
d'une balle en plein front tirée par un fusil à lunette. L'inspecteur
Carella ne décèle aucun mobile apparent. Le seul lien entre
les deux meurtres réside en la personne de l'astrologue Hans
Kleinberg, qui officiait comme passeur des fonds de l'une
et l'autre victime vers des comptes en Suisse. Kleinberg est
lui aussi assassiné. La seule piste pour Carella est le carnet
intime que lui a remis Sandra, belle-fille de Forest, où ce
dernier notait ses rendez-vous avec ses nombreuses ma?tresses.
Y figurent le nom et le numéro de téléphone de Jocelyne Rocca,
qui accepte de se rendre chez Carella, persuadée que cet ancien
amant est revenu à de plus tendres sentiments à son égard.
Mais le policier ne s'intéresse qu'à son enquête. Dé?ue, la
jeune femme repart, avant de s'écrouler en bas de l'immeuble,
frappée d'une balle en pleine poitrine. Carella repère aussit?t
la fenêtre, de l'autre c?té du port, où est posté le tireur.
Il court à toutes jambes mais arrive trop tard.
Le stakhanoviste
Philippe Labro a oeuvré comme journaliste (reporter pour Europe
1 et France Soir), homme de radio (il est le patron de RTL),
écrivain, parolier (pour Johnny) et enfin réalisateur. Comme
beaucoup de ses contemporains, Philippe Labro entretient une
passion pour l'Amérique et le polar (voir "L'Alpagueur").
Ici, en plus de ses influences habituelles, le réalisateur,
conscient ou non, emprunte divers stéréotypes du giallo :
décors insolites (Nice) écrasés par le soleil brulant, la
musique (un fois de plus excellente) d'Ennio Morricone et
un mystérieux tueur ganté qui préfère cette fois les armes
à feu (en fait une 22 long rifle) aux armes blanches. Soft
d'un point de vue hémoglobine par rapport à ses homologues
italiens, le film reste un thriller à l'atmosphère oppressante
et sensuelle (merci à Carla Gravina et Stéphane Audran), dans
lequel le réalisateur dresse un portrait peu flatteur de la
bourgeoisie ni?oise (dans l'ensemble composée de partouzeurs
et de magouilleurs) et de ses institutions (voir les supérieurs
de Carella proche du crétinisme). Pour l'aider sur le scénario
et l'adaptation, Labro fait appel à un vieux complice, l'écrivain
et parolier Jacques Lanzman (1927 – 2006) qui écrivit plus
de 150 chansons pour divers artistes dont pas mal pour Jacques
Dutronc, mais aussi pour France Gall, Sacha Distel, Pascal
Obispo ou Bernard Menez. Il collabora avec Labro au scénario
de quatre de ses films ("L'Héritier", "L'Alpagueur",
"Sans mobile apparent" et "Le hasard et la
violence").
Pour son
film, Labro s'offre un casting de choix, l'inspecteur Carella
est interprété par un Jean-Louis Trintignant toujours impeccable
dans les personnages tordus (il n'arrête pas de se laver les
mains tout au long du film), alors que Jean-Pierre Marielle
est une fois de plus délectable dans le r?le d'un gentleman
anglais. Le casting féminin n'est pas en reste avec l'une des
actrices italiennes les plus chaudes de l'époque, Laura Antonelli
(qui hérite malheureusement d‘un r?le de légume,) et la fran?aise
Dominique Sanda (au regard étonnamment bovin ?). Mais il faut
surtout signaler les apparitions de Carla Gravina ("L'Antéchrist"),
à la mini jupe affriolante, et de la magnifique Stéphane Audran
au décolleté hypnotique, son interrogatoire dans la voiture
est un grand moment de voyeurisme. Petite curiosité : la présence
du chanteur Sacha Distel, qui interprète une star de la télévision
et devient la cible du tueur.
Un mystérieux assassin semble s'acharner sur le gotha Ni?ois.
Heureusement, l'enquête échoue entre les mains de Carella, l'as
des as de la police nicéenne, une enquête qui va le toucher
personnellement puisque sa petite amie, interprétée par la bellissima
Carla Gravina, sera abattue en plein jour devant son domicile.
Ce qui permettra au policer (un pro de la gachette) de blesser
son adversaire dans une scène magnifique où Trintignant, l'arme
au poing, parcourt le port de Nice à la poursuite du tueur.
Impliqué plus qu'il ne l'aurait souhaité, Carella décide co?te
que co?te de mener cette enquête à son terme.
L'inspecteur
réussira par découvrir l'assassin, non sans quelques cadavres
de plus. Evidemment, avant de se conclure, l'enquête partira
sur une fausse piste (la fuite des capitaux à l'étranger), pour
se recentrer sur le véritable motif de cette tuerie, la vengeance
! En effet, à la base se trouve une sordide histoire de viol
collectif étouffé dans l'oeuf. Après le dénouement, l'inspecteur,
dégouté par tant de gachis, donnera sa démission sous le regard
attristé de ses adjoints et les vaines tentatives de ses supérieurs
de le retenir.
Les années septante on été pour la France l'occasion de signer
quelques bons petits polars (et pas seulement des Delon et Belmondo),
et "Sans mobile apparent" fait certainement partie
des meilleurs, et le mérite en revient en grande partie à Monsieur
Trintignant ("Le Grand Silence"), car son interprétation
efface avec brio un scénario des plus conventionnels et une
réalisation un peu coincée. Juste quelques mots pour signaler
que la bande originale signée Morricone est un petit bijou qui
reste parmi les meilleurs du ma?tre. (Here) |
|
|
En
trois jours, trois cadavres: celui d'un riche industriel, Monsieur
Forest, celui d'un jeune playboy, Monsieur Buroyer et celui
de l'astrologue, Kleinberg. L'arme du crime est un fusil à lunettes:
c'est le seul élément positif que possède l'inspecteur Carrella.
Il décide de fouiller la vie des trois victimes, car il existe,
il en est s?r, un lien entre elles. Grace à la belle-fille de
Forest, Sandra, il entre en possession du carnet de rendez-vous
de l'industriel, sur lequel figure une liste de noms féminins.
Parmi eux, celui d'une de ses amies, Jocelyne Rocca. Carrella
l'invite chez lui et apprend qu'elle a connu les trois victimes
à l'université. Il pressent qu'elle sera la 4° victime; mais
il est trop tard, elle est tuée, elle aussi, en sortant du domicile
de l'inspecteur... Carrella se dirige maintenant vers l'université.
Le professeur Palombo est justement en train de répéter une
pièce "Juliette", dont le personnage principal est
joué par Sandra Forest. Ceci intrigue Carrela qui la suit alors
qu'elle quitte la répétition. Il la surprend quelques minutes
plus tard en train de voler un document. Celui-ci permet à l'inspecteur
de découvrir ce qui unissait les victimes et de protéger l'éventuelle
"cinquième"... Reste à trouver le mobile du crime
et à rattraper l'assassin...
Philippe
LABRO est un touche à tout de talent. Ecrivain à succès, journaliste,
Directeur de Cha?ne de radio, réalisateur rien que ?a. Il adore
les USA où il a effectué ses études, il n y a donc rien d'étonnant
qu'il réalise un polar fran?ais à "l'américaine".
Pour ce faire il adapte un roman de Ed McBAIN un auteur de romans
très coté. je me souviens d'ailleurs que durant des années ma
mère achetait consciencieusement chaque nouveau livre de l'auteur
dans la collection "Série noire". L'auteur a créé
le personnage de l'Inspecteur CARRELLA qui sera présent à de
nombreuses reprises dans ses polars. Philippe LABRO adapte donc
le personnage à la sauce fran?aise sous les traits de Jean-Louis
TRINTIGNANT. Dès le début du film, l'acteur montre un CARRELLA
nerveux et très obsédé par son pistolet . Il s'entra?ne souvent
à le sortir et semble être un as de la gachette. L'enquête est
transposée en France à Nice. LABRO s'évertue à filmer la ville
à la manière d'un Don SIEGEL ou d'un WILLIAM FRIEDKIN. A bien
des égards le film rappelle "L'inspecteur Harry" avec
Clint EASTWOOD qui se déroule à San-Francisco. La ville est
filmée en altitude ou des toits. C'est une tentative de se démarquer
des polars habituels à la fran?aise, en choisissant des angles
de vue innovants et en apportant de la vivacité aux film. Le
film débute par CARRELLA qui débarque à Nice avec son amie Jocelyne.
Aussit?t il doit résoudre une série de trois meurtres à priori
non reliés entre eux et surtout sans mobile apparent. LABRO
ne montre pas le visage du tueur, seuls des plans montrent son
fusil à lunette dont il se sert pour tuer ses victimes d'une
manière assez stylisée. LABRO prend un malin plaisir contemplatif
à montrer les victimes fauchées en plein vol lors d'un saut
dans une piscine, ou d'une balle qui vient silencieusement trouer
leur crane (la balle dans le coeur est tout aussi efficace).
Pour mener
son enquête CARRELLA est aidé par deux acolytes qui ont bien
du mal à le supporter. Car TRINTIGNANT excelle dans la composition
d'un flic assez étrange, bourré de tics (il se regarde les
dents, se lave régulièrement les mains) et assez cassant.
TRINTIGNANT ne s'économise pas. Le quatrième meurtre concerne
son amie Jocelyne assassinée elle aussi en sortant de chez
lui. CARRELLA aper?oit le reflet de la lunette du tueur. Il
dégaine son arme et se met en positiond de tireur d'élite
et tire. Puis il court vers la cachette du tueur en courant
à perdre haleine, et l'acteur ne truque pas, il y va à fond.
Il constate qu'il a blessé le tueur, car il reste du sang
sur le sol. C'est vraiment un as de la précision. on notera
en passant que sa chemise est impeccable lorsqu'il revient
sur ses pas. Il ne transpire même pas !
C'est
grace à Dominique SANDA qu'il va comprendre le lien entre
les protagonistes. Je laisse aux lecteurs la joie de le découvrir,
car le lien n'est pas évident de prime abord. Evidemment CARRELLA
saura jouer de son oeil de lynx pour éliminer le (ou la) coupable
pour venger son amie. Jean
Louis TRINTIGNANT est impeccable et apporte une vraie dimension
à la psychologie compliquée de son personnage. Pas vraiment
sympa, mais séduisant, c'est un ton nouveau qui tranche avec
le flic "à la fran?aise" des années 60. Le
casting est largement féminin. Carla GRAVINA joue l'amie de
CARRELLA, l'occasion de la découvrir dans des tenues très
70's (bottes et minijupes au programme). Charmante comme toujours
elle meurt assez rapidement et pourtant elle détient elle
aussi un des maillons de l'intrigue. Dominique
SANDA a 22 ans est de plus en plus demandée par les réalisateurs.
Un peu distante, évaporée et pourtant déjà particulière, elle
est cependant utilisée pour sa jeune plastique qu'elle découvre
dans une scène du film. L'inévitable
Stéphane AUDRAN nous propose une apparition tout en couleur,
en vert pomme ! Elle n'hésite pas à montrer à CARRELLA un
atout assez impressionnant, une sacrée belle paire de doudounes,
bien mise en valeur. Un r?le court, mais important pour l'enquête.
Laura
ANTONELLI est toujours aussi sublime dans un r?le fragile.
Elle tourne beaucoup des deux cotés des Alpes et sera bient?t
une vedette avec "Malicia". C'est un plaisir de
la voir. Du
coté du casting masculin, c'est du solide dans la tradition
du cinéma fran?ais des 70's. Il y a Jean-Pierre MARIELLE qui
apporte sa masculinité et son charisme habituel. Son r?le
est assez court et il n'apporte pas tout son bagage habituel,
mais c'est toujours sympathique de le voir. Paul
CROCHET est un incontournable du cinéma fran?ais. Habitué
de toutes les grosses productions, il est encore une fois
impeccable. Sacha
DISTEL tient le r?le d'un présentateur de jeu cynique. Beau
gosse du film, il est un maillon de l'intrigue. Sa performance
est correcte, mais il ne percera pas au cinéma. L'ensemble
donne un très bon polar qui fleure bon les 70's. Philippe
LABRO montre des compétences réelles et apporte un dynamisme
qu'il aura un peu de mal à retrouver régulièrement avec ses
autres films. Le
film peut compter sur une musique du grand Ennio MORRICONE
qui est dans sa plus grande période. Le maestro encha?ne les
musiques de qualité avec la régularité d'un métronome. Le
petit thème sifflé reste bien dans toutes les mémoires. Le
film part sur de bonnes bases, mais raisonnable. Les salles
sont très bien remplies la semaine de sortie à Paris et petit
à petit les distributeurs vont augmenter le parc des salles
car le bouche à oreille est excellent et le film devien très
vite un des succès parisiens de la rentrée. A Paris Banlieue
le film totalise l'excellent chiffre de 460 000 entrées. En
province le film atteint les 1.3 millions de spectateurs ce
qui est satisfaisant. Il reste un des bons fleurons des films
fran?ais des années 70. (Here)
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003-The
reference info
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003-1
About the novel "Ten Plus One" and its author Ed
McBain(Evan
Hunter)
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Ed
McBain (October 15, 1926 – July 6, 2005) was an
American author and screenwriter. Born Salvatore
Albert Lombino, he legally adopted the name Evan
Hunter in 1952. While successful and well known
as Evan Hunter, he was even better known as Ed McBain,
a name he used for most of his crime fiction, beginning
in 1956. (Here) |
|
...Ed
McBain, his best known pseudonym, was first used
in 1956, with Cop Hater, the first novel in the
87th Precinct crime series. NBC ran a police drama
also called 87th Precinct during the 1961–1962 season
based on McBain's work. Hunter revealed that he
was McBain in 1958, but continued to use the pseudonym
for decades, notably for the 87th Precinct series,
and the Matthew Hope detective series. He retired
the pen names of Cannon, Marsten, Collins, Addams
and Taine around 1960. From then on crime novels
were generally attributed to McBain, and other sorts
of fiction to Hunter. Reprints of crime-oriented
stories and novels written in the 1950s previously
attributed to other pseudonyms were re-issued under
the McBain byline. Hunter stated that the division
of names allowed readers to know what to expect:
McBain novels had a consistent writing style, while
Hunter novels were more varied. (Here) |
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An
anonymous sniper on a deadly rampage has the men of the
87th Precinct on their heels and the city with tattered
nerves; they must somehow find their man before he takes
aim again. "McBain forces us to think twice about
every character we meet...even those we thought we already
knew." -- New York Times Book Review"The 87th
Precinct [is] one of the great literary accomplishments
of the last half-century." -- Pete
Hamill, Newsday |
|
Steve
Carella, Meyer Meyer, and the 87th Precinct regulars were
faced with the kind of killer who was a cop's worst nightmare.
From a rooftop or an open window, his missiles of death
sped silently to their targets, and one after another
the cold, cold corpses piled up.(Here) |
|
Ed
McBain, a recipient of the Mystery Writers of America's
cEd McBain, a recipient of the Mystery Writers of America's
coveted Grand Master Award, was also the first American
to reoveted Grand Master Award, was also the first American
to receive the Diamond Dagger, the British Crime Writers
Associatceive the Diamond Dagger, the British Crime Writers
Association's highest award. His books have sold more
than one hundrion's highest award. His books have sold
more than one hundred million copies, ranging from the
more than fifty titles ied million copies, ranging from
the more than fifty titles in the 87th Precinct series
(including the Edgar Award-nominated "Money, Money,
Money)" to the bestselling novels written under his
own name, Evan Hunter -- including "The Blackboar
under his own name, Evan Hunter -- including "The
Blackboard Jungle" (now in a 50th anniversary edition
from Pocket Books) and Criminal Conversation. "Fiddlers,
" his final 87th Pks) and Criminal Conversation.
"Fiddlers, " his final 87th Precinct novel,
was recently published in hardcover. Writing recinct novel,
was recently published in hardcover. Writing as both Ed
McBain and Evan Hunter, he broke new ground with as both
Ed McBain and Evan Hunter, he broke new ground with "Candyland,
" a novel in two parts. He also wrote the screen"Candyland,
" He also wrote the screenplay for Alfred Hitchcock's
"The Birds." He died in 2005. Visit www.edmcbain.com.
Visit www.edmcbain.com. (Here) |
|
Evan
Hunter was born in 1926 in East Harlem, New York on October
15, 1926. During World War II, he joined the Navy and
served aboard a destroyer in the Pacific. He graduated
from Hunter College, were he majored in English and psychology,
with minors in dramatics and education. He was a prolific
writer who also wrote under the names of Ed McBain, Curt
Cannon, Hunt Collins, Ezra Hannon, and Richard Marsten.
His first major success came in 1954 with the publication
of The Blackboard Jungle, which was later adapted as a
film. He published the first three books in the 87th Precinct
series in 1956 under the name of Ed McBain. He also wrote
juvenile books, plays, television scripts, and stories
and articles for magazines. He won the Mystery Writers
of America Award in 1957 and the Grand Master Award in
1986 for lifetime achievement. He died of laryngeal cancer
on July 6, 2005 at the age of 78. |
|
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Ten
Plus One
87th Precinct
Author
Ed McBain
AmazonEncore, 2012
ISBN 161218183X, 9781612181837
Pages 220
|
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TEN
PLUS ONE
An 87th
Precinct Mystery
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003-2
About the film"The Big Sleep"
(109'15")
|
The
Big Sleep (1939) is a hardboiled crime novel by Raymond
Chandler, the first in his acclaimed series about detective
Philip Marlowe. The work has been adapted twice into
film, once in 1946 and again in 1978. The story is set
in Los Angeles, California.
The
story is noted for its complexity, with many characters
double-crossing one another and many secrets being
exposed throughout the narrative. The title is a euphemism
for death; it refers to a rumination in the book about
"sleeping the big sleep".
In
1999, the book was voted ninety-sixth of Le Monde's
"100 Books of the Century." In 2005, it
was included in "TIME's List of the 100 Best
Novels." (Here)
|
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First
edition cover
Author(s)
Raymond Chandler
Country United States
Language English
Series Philip Marlowe
Genre(s) Hardboiled detective, crime novel
Publisher Alfred A. Knopf
Publication date 1939
Media type Print (Hardback & Paperback)
Pages 277 pp
ISBN 978-0-14-010892-7
OCLC Number 42659496
Followed by Farewell, My Lovely
|
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The
Big Sleep is a 1946 film noir directed by Howard Hawks,
the first film version of Raymond Chandler's 1939 novel
of the same name. The movie stars Humphrey Bogart as
detective Philip Marlowe and Lauren Bacall as the female
lead in a film about the "process of a criminal
investigation, not its results."[3] William Faulkner,
Leigh Brackett, and Jules Furthman co-wrote the screenplay.
In
1997, the U.S. Library of Congress deemed the film
"culturally, historically, or aesthetically significant,"
and added it to the National Film Registry. (Here)
|
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Directed
by Howard Hawks
Produced by Howard Hawks
Written by Novel:
Raymond Chandler
Screenplay:
William Faulkner
Leigh Brackett
Jules Furthman
Starring Humphrey Bogart
Lauren Bacall
Music by Max Steiner
|
Cinematography
Sidney Hickox
Editing by Christian Nyby
Distributed by Warner Bros.
Release date(s) August 23, 1946
Running time 115 minutes
(released cut)
116 minutes
(re-released original cut)
Country United States
Language English
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Plot
The
plot of The Big Sleep is unusually complex. Some details
remain hazy at the film's end. Private detective Philip
Marlowe (Humphrey Bogart) calls on new client General
Sternwood (Charles Waldron) at his Los Angeles mansion.
The wealthy general wants to resolve gambling debts
his daughter, Carmen Sternwood (Martha Vickers), owes
to bookseller Arthur Gwynn Geiger. As Marlowe is leaving,
General Sternwood's older daughter, Mrs. Vivian Rutledge
(Lauren Bacall), stops him. She suspects her father's
true motive for calling in a detective is to find his
friend Sean Regan, who had mysteriously disappeared
a month earlier.....(More)
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004-Major
stars
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004-1
The director Philippe
Labro
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Philippe
Labro (From
Wikipedia)
Philippe
Labro, is a French author, journalist and film director,
born in Montauban (close to the Massif Central and the
Pyrenees) on 27 August 1936. He has worked for RTL,
Paris Match, TF1 and Antenne 2. He is a laureate of
the Prix Interallié, a French literary distinction founded
in 1930, which was awarded for “L'étudiant étranger”
in 1986.
At
eighteen years, he left to study at Washington and Lee
University in Virginia. He then traveled across all
of the United States. On his return to Europe, he became
a reporter. From 1960 to 1962 during the Algerian war,
Labro was a member of the military. He returned to his
journalistic activities following his time in the military.
He has written and directed many films, and was a close
friend of Jean-Pierre Melville, as he recalls in the
2008 documentary Code Name Melville. From 1985 to 2000,
he directed the programs on RTL becoming the vice president
of the station in 1992.In April 2010, he became Commander
of the
Légion d'honneur.
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Bibliographie
(Here)
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1960
: Un Américain peu tranquille
1967 : Des feux mal éteints
1982 : Des bateaux dans la nuit
1983 : Des cornichons au chocolat
1986 : L'étudiant étranger (Prix Interallié)
1988 : Un été dans l'Ouest (Prix Gutenberg)
1990 : Le Petit Gar?on
1992 : Quinze ans
1994 : Un début à Paris |
1996
: La Traversée
1997 : Rendez-vous au Colorado
1999 : Manuella[5]
2002 : Je connais gens de toutes sortes
2003 : Tomber sept fois, se relever huit
2006 : Franz et Clara
2009 : Les Gens
2010 : 7 500 signes |
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004-2
Main Cast Jean-Louis
Trintignant
|
Jean-Louis
Xavier Trintignant (French pronunciation: born 11
December 1930) is a French actor who has enjoyed international
acclaim. He won the Best Actor Award at the 1969 Cannes
Film Festival.
Trintignant
was born in Piolenc, Vaucluse, France, the son of
Claire (née Tourtin) and Raoul Trintignant, an industrialist.[1]
At the age of twenty, Trintignant moved to Paris to
study drama, and made his theatrical debut in 1951
going on to be seen as one of the most gifted French
actors of the post-war era. After touring in the early
1950s in several theater productions, his first motion
picture appearance came in 1955 and the following
year he gained stardom with his performance opposite
Brigitte Bardot in Roger Vadim's And God Created Woman.
Trintignant’s
acting was interrupted for several years by mandatory
military service. After serving in Algiers, he returned
to Paris and resumed his work in film. (More)
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Awards
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1968-
Silver Bear for Best Actor for The Man Who Lies
1969- Cannes Award for Best Actor for Z
1972- David di Donatello - Special Award
2012- European Film Awards - Best Actor for Amour
Trintignant was nominated to receive the César four
times: in 1987, 1995, 1996, and in 1999.
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005-
OST of the film
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No.
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Name
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Audition
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001
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Senza
motivo apparente (04:22)
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002
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Sospensione folle (02:37)
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003
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Il movente (02:30)
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004
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Ricerca (02:12)
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005
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In pieno petto (05:06)
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006
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Senza motivo apparente (#2) (05:06)
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007
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Ricerca (02:32)
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008
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Senza Motivo Apparente (#3) (02:00)
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009
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Sospensione Folle (#2) (01:43)
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010
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Senza Motivo Apparente (#4) (01:22)
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011
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In pieno petto (#2) (01:43)
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012
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Il Movente (#2) (02:29)
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013
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Senza Motivo Apparente (#5) (02:30)
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014
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Reused Tracks - Notturno
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015
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Reused Tracks - A thousand
souvenirs
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016
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Reused Tracks - Repeated
murder
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017
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Reused Tracks - No red
robe
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018
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Cover Version - Filmstudio
Orchestra Di Roma - Sans Mobile Apparent (Massino Campigli)
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019
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RMX - Readymade Fc - Sans
Mobile Apparent (The Bright Star Remix)
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020
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RMX - Benjamin Diamond
vs Octet - Sans Mobile Apparrent
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021
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Sans Mobile Apparent - Senza Motivo Apparent (short
version)
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007-
Play in online and download of the film
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Download
below file is able for VIP member period Jan.14 - Jan.31,
2013
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The
file of film "Sans
mobile apparant"(French
dub and embedded CN and EN subtitle) 700 Kbps WMV format 545M
96' 23"
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Jan.13,2013
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